Nom : Cyrien
Age : 22 ans
Rang Social : Citoyen
Particularité(s) : Son sens de la loyauté n’a d’égale que son amour de la musique.
Désir/Rêve : Offrir la plus belle symphonie aux oreilles qui le méritent.
Physique : Nous ne dirons pas qu’il est le plus beau, le pus grand, le plus sexy ou toutes autres choses de ce genre. Non, il en est assez loin en fait.
Quoi que, Cyrien est assez mignon en soi, de taille moyenne, une taille fine, une silhouette svelte mais athlétique, ce n’est pas le plus mignon, mais il a un charme certain.
Ses yeux noisettes, vif et persans, capable de lire la musique dans le cœur des gens.
Vestimentairement parlant, on ne peu pas non plus dire qu’il sorte particulièrement du lot, puisque ses tenues sont toujours ce qu’il y a de plus normale du côté léger de la chose.
Caractère : Cyrien est le genre de type à donner sa chemise si la personne qui en a besoin a une bonne tête. Ce comportement lui a d’ailleurs causé pas mal de problème, à se retrouver sans un sous, sans rien à manger. Mais que voulez vous, il ne pouvait pas non plus se changer.
Biographie : Dans sa famille, avec ses 3 frères et ses 4 sœurs, ont lui avait apprit à partager, à être généreux et à faire dont de soi. C’était comme ça et pas autrement. Ses parents avaient toujours été stricts à ce sujet et y obéir leurs permettaient de se développer dans le domaine qu’ils souhaitaient. Pas fortuné mais assez libre pécuniairement parlant, cette petite famille avait put ainsi suivre des études dans des domaines aussi libre qu’il était possible d’imaginer.
Cyrien, de son côté, avait opté pour la musique tandis que parmi ses frères et sœurs, le choix se portait sur médecin, architecte, « créatrice de mode », et d’autres encore.
L’opéra fût son premier lieu de travail, intégrant le philarmonique de Paris. Etant assez doué et travailleur, le jeune homme, âgé alors de 19 ans commençait déjà monter les échelons du succès.
Mais , ce n’est que deux ans après, après avoir écrit un opéra pour sa compagnie, qu’il eut enfin la célébrité à porté de la main.
Dès ce moment là, ses pensées furent très productives, enchainant trois autres compositions qui marquèrent les cours.
C’est peut être pour cela qu’aujourd’hui, Versailles lui ouvre les bras.